Depuis bien longtemps en France, on rencontre la plus grande variété des Nationalités.
Beaucoup sont venues des territoires "France dépendante" surtout l'Afrique du Nord.
Venus chercher du travaille, beaucoup sont restées, se sont installées avec ou sans leur familles, mais - qu'est-ce qu'on sait, vraiment, de ces gens-la, qui pour la plus part ont fait le travaille pénible, le travaille que les autres ne veulent pas faire. Ici - dans cette Région du Sud, ils sont légion.
Ils travaillent dans des conditions souvent lamentable, pour peu d'argent, non simplement sous le soleil brulante, mais a même temps dans des serres ou l'air prends l'humidité insupportable.
Ils font récolter, planter, nettoyer des simples choses comme les salades, les tomates et tous les autres fruits et légumes qu'on trouve ici.
Ils commencent avant l'aube, ils finissent après la crépuscule, et souvent ils vivent dans des conditions intolérable.
Le plus part entre Eux n'ont pas le temps a gaspiller avec des protestes, des attaques raciste et autre, la terrorisme - ils sont trop occupées avec leur travaille.
Hors du travaille, ils passent souvent leur temps au Café, avec leurs compatriotes, et ils parlent de "la-bas"!
Des qu'ils peuvent, ils rentrent "la-bas" - voir leur famille, leur femmes, leurs enfants, leurs amis.
Et.....parfois ils ne reviennent plus....!
Telle comme un Monsieur, je ne connais même pas le nom propre, mais je sais que pendant tout sa vie il a travaillée dans les serres, dans les champs - jusqu'au moment, très récemment, quand il a eu droit a sa "retraite".
65 ans - et une vie du "travaille forcée" derrière lui, il croyait maintenant passer les jours lui restante en tranquillité. Quand je l'ai vu le dernier fois, il était excitée, chargée, car - il etait en train d'arranger ses bagages pour la rentrée chez lui - "Vacances extensives" il me disait - en fait il ne savait pas si il retournera en France.
Comme d'habitude, il m'a invitée, de nouveau, de me rendre en Tunisie, chez lui et sa famille, pour quelques jours de vacances.
Comme d'habitude, il m'a invitée, de nouveau, de me rendre en Tunisie, chez lui et sa famille, pour quelques jours de vacances.
Bien sur - je ne pouvais pas accepter, mais l'offre n'était rien que très gentille, comme d'habitude!
J'ai appris, aujourd'hui, que ce Monsieur, si gentille, honnête, qui a passée sa vie si loin de ses proches - est mort.
Décédé tout juste quelques mois après le début de sa retraite.
Il en a combien comme lui, qui - dans les mots de la chanson:
"Ont oubliée de vivre...?"
Et - il en a beaucoup plus des gens, originaires de la France, qui ont eu tous les luxes, tous les droits, tout l'éducation, tous les chances, tous les possibilités, mais qui ne font que se plaindre sans comprendre:
"J'ai oubliée de vivre!"
et ......
C'est trop tard, maintenant.....!
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Moi même?- J'ai vécu!
Je peux m'en aller.
Je peux m'en aller.
Octobre/Novembre 2009 30600, Vauvert, France.
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